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Le 7 mai, prenons nos responsabilités

 

Je remercie les électeurs qui ont fait le choix de porter les idées de Benoit #Hamon
Je remercie tous les militants de Nanterre et Suresnes pour cette campagne démocratique, sociale, écologique, européenne, dont les ruptures, les innovations, étaient à l’avant-garde pour le bien être de nos concitoyens.

Les Nanterriens et les Suresnois ont été plus nombreux à se mobiliser lors de ce premier tour de l’élection présidentielle qu’en 2012.

Les résultats de ce premier tour à Nanterre et Suresnes ne sont pas ceux de la France, Emmanuel Macron arrive en tête avec 30% des voix et est suivi de près par Jean Luc Mélenchon (26%).

D’autre part les Nanterriens et Suresnois ont relégué le Front National à la quatrième place, avec moins de 10%
Mais au niveau national le Front National sera au second tour, j’appelle donc les nanterriens et suresnois à le battre le plus fortement en votant pour Emmanuel #Macron
Même si ce dernier n’appartient pas à la Gauche, comme lui-même l’a défini, il ne s’agit pas de soutenir un adversaire politique, mais d’éliminer une ennemie de la République, qui cherche à diviser, à inciter à la haine.

L’heure est grave.
Le combat continue, dès le 2nd tour, et lors des législatives prochaines, durant lesquelles je continuerai de porter avec fierté mes priorités et mes valeurs.

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Conférence Débat – Suresnes Violences psychologiques et économiques

Les violences faites aux femmes, qu’elles soient psychologiques, physiques, économiques, elles ont pour conséquences de détruire l’estime de soi.

Que les violences économiques soient le fait d’un conjoint, d’un supérieur hiérarchique, ou plus généralement du système social.

Je vous invite à venir échanger avec nos invitées dans un cadre convivial le mardi 28 mars à 19h au Cheval Blanc à Suresnes, 34 rue de Verdun.

En présence de :

Anne Laure BUFFET thérapeute, présidente de l’association contre la violence psychologique, auteure de « Victimes de violences psychologiques : de la résistance à la construction »

Anne Charlotte JELTY, directrice du CIDFF 92 (centre d’information des droits des femmes et de la famille)

Entrée libre- Consommation payante

« Quelque chose de Cyrano », une pièce à voir

Les nanterriens ont du talent
Aziz Hellal a écrit et mis en scène « Quelque chose de Cyrano » une pièce remarquablement bien jouée, poignante sur l’identité et les discriminations.
Courrez la voir, encore deux représentations vendredi et samedi prochain au Théo Théâtre à Paris métro Bouccicaut
À jouer dans tous les collèges et lycées !

Quand la France périphérique s’éveillera, la gauche gagnera

https://www.lemonde.fr/idees/article/2017/02/06/quand-la-france-peripherique-s-eveillera-la-gauche-gagnera_5075463_3232.html

Par Nicolas Brien, Habiba Bigdade, Maud Clavequin et Marc-Henri Duvernet, candidats aux législatives.

Il existe une France qui ne s’intéresse pas aux primaires des partis politiques. Les partis politiques le lui rendent bien, et s’intéressent de moins en moins à elle.

Cette France se trouve de l’autre côté des périphériques, loin des transports en commun, loin des CDI, loin des métropoles. Cette France des banlieues, des territoires périurbains et ruraux est majoritaire sociologiquement mais minoritaire politiquement. Autrefois, on l’appelait la « France populaire », aujourd’hui on l’appelle la « France périphérique ».

Ainsi, un parisien sur dix a voté au premier tour de la primaire de gauche, tandis qu’au niveau national, on atteint 3,5 %. De façon symétrique, à la primaire de droite, les Hauts-de-Seine se sont trois fois plus mobilisés que le Pas-de-Calais. Une fois les primaires passées, la « France périphérique » redeviendra centrale, le temps de la campagne présidentielle. Avec un taux de participation de plus de 80 %, c’est la seule élection où les catégories populaires s’expriment et jouent un rôle déterminant.

Ségrégation socialeJeunes responsables politiques de gauche, issus de la France périphérique, nous voulons la remettre au cœur du débat présidentiel, car cette France glisse doucement à l’écart du regard de la République.

Dans nos territoires, depuis la crise de 2008, la puissance publique n’a plus réellement de moyens pour lutter contre les mécanismes de ségrégation sociale. Alors que les « déserts » ferroviaires, médicaux, sociaux s’étendent, le mot « fonctionnaire » n’a quasiment pas été prononcé dans les débats des primaires de la gauche. Soumis à la révision générale des politiques publiques (RGPP) et au gel du point d’indice, menacés dans leur existence même par la droite thatchérienne, placés en première ligne des tensions sociales, les infirmières, les pompiers, les gendarmes, les enseignants…

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Pour sortir de l’austérité et rompre avec les dérives sociales-libérales, rassemblons les gauches aux côtés de Benoît Hamon

Dimanche dernier, les électrices et les électeurs de gauche se sont mobilisés en nombre pour désigner le candidat qui portera nos valeurs et notre programme à l’élection présidentielle de 2017.

Aux côtés d’Arnaud Montebourg, nous, parlementaires de gauche avons soutenu le Projet France, pour en finir avec l’austérité et le chômage de masse, pour la relance par l’investissement autour de nos industries et de nos entreprises françaises, pour la défense de nos PME, pour réduire les inégalités qui minent nos territoires et redonner un souffle démocratique à nos institutions.

Nous tenons à remercier les françaises et français qui ont apporté leur confiance à Arnaud Montebourg, mais également toutes celles et ceux qui ont permis cette grande réussite démocratique.

Aujourd’hui, nous nous réunissons autour de la candidature de Benoit Hamon, que nous soutenons parce qu’il partage avec nous le souhait d’une gauche renouvelée, fière de ses valeurs et capable de faire gagner la France et l’Europe face aux nombreux défis qui les attendent. Ensemble, nous avons refusé les dérives sociales-libérales du quinquennat. Dans le projet affirmé par Benoit Hamon, se retrouvent beaucoup de nos principaux combats : l’urgence d’une VIème république, d’une transition écologique et d’une véritable lutte contre l’austérité.

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