,

Tournoi international U16 Basket à Essaouira

Je me suis rendue début mars à Essaouira pour le tournoi international U16 Basket, organisé entre autres par l’association Césam.

Victoire de la SEED Academy Sénégal ?? face à nos françaises de la CTC @Mont Valérien ??.
Mais aucun perdant !
Tout le monde a été récompensé y compris les bénévoles, le croissant rouge, les petites mains et les femmes et les hommes de l’ombre.
La #solidarite et la #fraternite était au cœur de cet événement merci à tous ceux qui ont pu rendre possible un tel événement qui se voulait populaire.
En présence de monsieur André Azoulay qui a fait l’honneur d’être présent à la finale et à la remise des récompenses et de Astou Ndiaye grande championne internationale de Basket.
Bravo pour cette première édition du @tournoi international de Basket Ball filles U16, que j’ai eu plaisir d’accompagner en tant que membre du Cercle Eugene Delacroix , adjointe au maire de #Nanterre et originaire d’#Essaouira

,

Désert médical à Nanterre

Conseil municipal 12 février 2019 

Réponse suite à une question orale sur le manque de médecins dans le quartier du parc   

La municipalité a effectivement été saisie de cette problématique. Pour reprendre le titre du dossier paru jeudi dernier dans Le Parisien : La désertification médicale n’épargne plus les grandes villes. Cette situation est la conséquence de multiples facteurs.

1/ Tout d’abord, nous payons encore la baisse du numerus clausus décidée dans les années 80 et 90, qui a fait passer le nombre d’admis aux études de médecine de 8671 en 1977 à 3576 en 1997. Il s’agissait, pour les différents gouvernements qui ont mis en œuvre cette baisse, de réduire les dépenses de santé en réduisant l’offre de soins, pensant que la présence d’un médecin à proximité augmentait la demande soins. Depuis le numerus clausus a augmenté, mais les résultats de cette hausse mettront du temps à se diffuser sur tout le territoire.

2/L’autre facteur, c’est la liberté d’installation des médecins dans le territoire de leur choix. Pourtant, c’est bien la puissance publique qui finance les études des futurs médecins et qui garantit, via l’assurance-maladie, la solvabilité de leurs patients. Mais aucun gouvernement n’a eu le courage d’exiger des nouveaux médecins, en contrepartie, qu’ils exercent pendant quelques années au moins dans les territoires les moins pourvus.

3/Enfin, il est indéniable que le quartier du Parc souffre d’une image dégradée qui contribue à dissuader les médecins d’y ouvrir leur cabinet, à cela s’ajoute que les nouveaux médecins ne souhaitent plus s’installer seuls quel que soit le quartier.

Comme vous le savez la municipalité a engagé un projet de renouvellement urbain à l’échelle du quartier. Ce projet ambitieux vise notamment à diversifier les types de logements pour favoriser la mixité sociale et de nouveaux services aux habitants. Dans ce cadre, il est ainsi prévu la création, dans une des tours Aillaud, d’un cabinet pluridisciplinaire, à l’image du Médipole installé dans le quartier Université. Mais sans attendre, nous sommes très actifs pour favoriser l’installation de médecins de ville dans ce quartier du Parc et ses abords immédiats. C’est ainsi que nous avons accompagné l’installation d’un cabinet médical comprenant deux généralistes et un podologue au 124 avenue Clémenceau.

Je peux également vous annoncer qu’au RDC du programme de logements neufs qui est lancé rue Craïova, dans le quartier Parc Sud, 400 mètres carrés sont réservés aux professions médicales, la moitié de cette surface étant déjà signée avec un Ostéopathe, l’autre moitié étant en cours de commercialisation.

Enfin, je peux également vous dire que dans un autre programme de logements neufs qui sera livré dans un an, Boulevard Mansart, les surfaces en RDC seront dédiées à une micro crèche et à une activité médicale. Nous poursuivons donc nos efforts pour attirer l’installation dans ce quartier de médecins généralistes libéraux.

Vous savez par ailleurs que Nanterre investit depuis longtemps dans la santé de ses concitoyens – bien que la santé ne soit pas une compétence municipale – avec, notamment, ses 3 centres municipaux de santé, dont celui du Parc.  Heureusement que l’offre municipale existe pour pallier le départ des médecins libéraux. Les centres de santé municipaux proposent, aux tarifs conventionnés de secteur 1, c’est-à-dire sans dépassement d’honoraires, des consultations de médecine générale et de spécialistes. Ils peuvent également être considérés comme médecins-traitants.

Aujourd’hui, l’offre en médecine générale au centre municipal de santé du Parc équivaut à 2, 5 médecins équivalent temps plein. Dans l’immédiat, nous avons prévu d’augmenter le nombre de vacations de médecine générale proposées dans ce centre de santé, avec les praticiens existants. Dans un second temps, l’équipe actuelle pourrait être complétée par un nouveau praticien, qui, au vu de la contrainte des locaux, assurerait consultations et visites à domicile.

,

Le mouvement des gilets jaunes: Les conséquences d’une politique « ni de gauche ni de droite »

Tribune du groupe socialiste et divers gauche – Nanterre Info- Janvier 2019

Le mouvement des gilets jaunes: Les conséquences d’une politique « ni de gauche ni de droite »

Depuis quelques semaines notre pays vit au rythme du mouvement des gilets jaunes.

La baisse du pouvoir d’achat, la stagnation des salaires, la fermeture des services de proximité, la fiscalité explosée, autant de raisons qui ont décidé ces femmes et ces hommes à élire domicile sur des ronds-points et aux péages d’autoroutes. Ils dénoncent, à raison, haut et fort cette politique fiscale qui les étrangle et qui préserve les contribuables les plus riches

Considérant n’être plus représentés par personne et animés par un sentiment de défiance à l’égard des institutions, ils se sont retrouvés, malgré eux, porte drapeau d’un mouvement prenant jour après jour de plus en plus d’ampleur.

Face à cette crise aux causes multiples et cette colère contagieuse, nous considérons que les réactions du gouvernement et du Président ont été inappropriées

En résistant trop longtemps face à la fronde contre l’augmentation des taxes du carburant pour tout compte fait reculer, le Président, enfermé dans un silence arrogant, a pris le risque d’embraser le pays. Débordé par une violence inacceptable attisée par des extrémistes, notre socle républicain a vacillé.

Après ces premiers atermoiements, le Président lors de son allocution a tenté d’éteindre la grogne en proclamant un état d’urgence sociale. Bien qu’il ait consenti un effort financier non négligeable, les mesures annoncées n’auront a priori que peu d’effet sur la fracture sociale et territoriale qui abime notre pays. Face à cette deuxième tentative, si ce dernier ne prend pas la juste mesure du malaise et ne cherche pas à en comprendre ses raisons pour les traiter en profondeur il perdra définitivement le cap.

Il ne s’agit pas de renoncer à la transition energetique, il s’agit de la financer autrement avec notamment un plan de grande envergure alimenté par l’ISF, par les fruits de la lutte contre l’évasion fiscale, et en renonçant à la transformation du CICE.

Nous saluons à cet égard la motion de censure déposée par l’union de la gauche au parlement pour alerter le gouvernement sur la mauvaise direction prise.

Cependant il faut garder l’espoir que ce mouvement soit finalement entendu. En annonçant vouloir confier aux élus locaux et aux corps intermédiaires la mise en place d’états généraux dans tous les territoires, comme ils le réclamaient depuis près d’un mois, Emmanuel Macron parviendra, peut-être  à renouer le dialogue avec les Français et à redonner ainsi un sens à son mandat.

Si Nanterre n’a pas connu de véritables barrages de gilets jaunes, avec un taux de pauvreté supérieur à 20 % et un taux de chômage de 16 % la crise sociale n’épargne pas notre territoire. Par sa politique sociale volontariste, notre ville est d’ailleurs en première ligne pour en atténuer les effets.

A l’aube de cette nouvelle année, il nous reste plus qu’à nous souhaiter  collectivement des jours meilleurs. A chacun  d’entre  vous, nous vous présentons tous nos vœux de bonheur et de réussite et soyez assurés de notre indéfectible soutien.

, ,

Situation dramatique des mineurs étrangers isolés dans le 92

Conseil municipal du 11 décembre 2018

Intervention pour approuver le vœu de la majorité rappelant au Conseil Départemental 92 ses responsabilités concernant la prise en charge aujourd’hui insuffisante des mineurs isolés étrangers.

Intervention de Habiba Bigdade

VIDEO

Monsieur le maire, mes chers collègues

 L’urgence sociale que vient de décrire notre collègue retient bien évidement toute l’attention de notre groupe et nous  voterons sans réserve ce vœu.

En tant qu’élus locaux nous devons  œuvrer main dans la main avec le réseau associatif  pour exiger que chacun de ces jeunes bénéficient de la protection à laquelle ils ont droit.

Il est impensable et insupportable qu’aujourd’hui dans le pays des droits l’homme nous répondions à ces  adolescents en très grande fragilité que nous ne sommes pas en mesure de les protéger.

Je rappelle que nous fêtions hier le 70 ème anniversaire de la déclaration universelle des Droits de l’homme, et le droit des enfants en fait partie, ces mêmes enfants qui ont droit à la scolarité et à être protégés.

C’est d’autant plus intenable quand cette situation se passe dans le  département des hauts de Seine, deuxième départements plus riches de France, et dont la situation financière confortable laisse penser qu’il serait en mesure d’adopter une politique plus volontariste.

Et dans nos centres de santé, à l’espace santé jeunes , nous voyons une recrudescences de ces jeunes envoyés par l’ASE par le biais d’un courrier type sans élément clair concernant l’identité du jeune, ou l’existence d’une couverture sociale et présentant un motif sommaire de demande de consultation, toujours présenté comme urgent.

Comme aucun de ces jeunes n’a pu se présenter accompagné d’un référent de l’ASE la prise en charge de cette accompagnement est faite en partie par le personnel municipal, le CD ne prend même pas ses responsabilités pour ceux qu’il est censé prendre en charge.

Aussi, au-delà d’exiger que des moyens  humains soient octroyés à la hauteur de l’ampleur de la situation, nous devons exiger que chacune des situations soient étudiées avec une grande bienveillance dénudée de toute suspicion.

Car nous ne pouvons tolérer que ces jeunes arrivants soient considérés d’abord comme des fraudeurs, à qui on doit faire passer des tests osseux, alors qu’ils doivent être d’être accueilli comme des enfants sans repères et sans famille.

Refusant de croire que le sort réservé, à ces adolescents qui se présentent à l’aide sociale à l’enfance tous les matins totalement démunis, soit le fruit d’un manque de volonté politique de la part des élus du département, nous les exhortons de les d’accueillir avec la dignité que leur parcours de vie imposent.

,

Nanterre sans perturbateurs endocriniens !

Conseil municipal du 11 décembre 2018

Délibération 243

Signature de la charte d’engagement : Villes et Territoires »sans perturbateurs endocriniens »

Intervention de Habiba Bigdade

Je vous propose ce soir que la ville signe la charte « Villes et territoires sans perturbateurs endocriniens ».

Dans l’eau, l’air, les maisons ou les parcs et même dans vos assiettes, les perturbateurs endocriniens (PE) sont partout.

Toutes les études scientifiques convergent pour affirmer qu’ils sont les principaux responsables de l’explosion de nombreuses maladies chroniques : Troubles neurologiques, dérèglement hormonal, puberté précoce, stérilité, cancers…

D’ailleurs en 2016 nous avions organisé à la maison de la musique un colloque sur la santé et les différents intervenants nous alertaient déjà sur les conséquences à long terme de l’assimilation de ces PE.

Les effets produits sont désormais quantifiables, le taux de fertilité des hommes a baissé de 40 %.

En 25 ans, le taux des cancers hormonaux-dépendants a doublé pour le sein et a été multiplié par 5 pour la prostate!

Notre pays a été précurseur en publiant dès 2014 une Stratégie nationale pour « réduire l’exposition de la population et de l’environnement aux Perturbateurs Endocriniens »

Cela a conduit notamment à l’interdiction du bisphénol A dans les matériaux en contact direct avec des denrées alimentaires (comme les biberons) puis, en 2015, à l’arrêt de l’usage des produits phytosanitaires dans les collectivités.

C’est dans ce sens, que la municipalité de Nanterre s’engage  pour les nanterriens dans le respect de cette charte, à l’instar de plus de quinze collectivités dont Paris, Strasbourg et la région Ile de France.

A l’initiative du « Réseau Environnement Santé » Cette charte engage les signataires à la mise en place d’un plan d’actions dans l’année.

La ville de Nanterre s’engage donc à la mise en place courant 2019 d’un plan incluant les 5 dispositions suivantes :

1/ Dans un premier temps, restreindre, puis à terme, tendre à éliminer l’usage des produits phytosanitaires et biocides qui contiennent des perturbateurs endocriniens

2/ Réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens dans l’alimentation en développant la consommation d’aliments biologiques et en interdisant à terme l’usage de matériels pour cuisiner et chauffer comportant des perturbateurs endocriniens.

3/ Favoriser l’information de la population, des professionnels de santé, des personnels des collectivités territoriales, des professionnels de la petite enfance, des acteurs économiques de l’enjeu des perturbateurs endocriniens.

4/ Mettre en place des critères d’éco conditionnalité éliminant progressivement les perturbateurs endocriniens dans les contrats et les achats publics.

5/ Informer tous les ans les citoyens sur l’avancement des engagements pris

Nous n’avons pas attendu cette charte pour mettre en œuvre certains de ces engagements mais en nous inscrivant dans cette démarche collective, nous rappelons que notre santé et celle de nos enfants est l’affaire de tous et qu’il devient urgent de multiplier ces actions, partout.

 

Je vous propose d’autoriser le maire à signer la dite charte et de consentir à mener le plan d’action sur le long terme visant à éliminer l’exposition aux perturbateurs endocriniens.

Festival des idées

J’ai signé cet appel avec de nombreuses personnalités, pour l’organisation d’un « Festival des idées » en juillet 2019 pour « inventer de nouveaux horizons » politiques.

Refusant la fatalité d’une société qui court à la catastrophe démocratique, sociale et écologique, nous partageons les mêmes indignations, les mêmes colères mais aussi, dans la diversité de nos engagements, les mêmes espoirs

Un « Festival des idées » aura lieu les 5, 6 et 7 juillet 2019 à la Charité-sur-Loire, dans la Nièvre, pour tenter de réveiller la réflexion et l’échange et proposer des réponses solides aux urgences qui s’accumulent. L’appel pour ce festival a recueilli déjà la signature de plus de cent citoyens engagés : chercheurs, artistes, écrivains, responsables d’ONG, syndicalistes, journalistes… Ce festival, né de la société civile, est soutenu par plusieurs médias (« L’Obs », « Libération », Mediapart, « Alternatives économiques », « Politis », Le Vent se lève…) Voici le texte de l’appel. 

Refusant la fatalité d’une société qui court à la catastrophe démocratique, sociale et écologique, nous partageons les mêmes indignations, les mêmes colères mais aussi, dans la diversité de nos engagements, les mêmes espoirs

Egoïsmes et aveuglements, replis et haines dictent la marche du monde, alors que l’humanité de l’âge numérique a atteint un niveau inédit de possibilités, pour elle-même et pour la planète. Devant cet immense défi à relever, nous n’acceptons pas d’être orphelins de nos rêves et condamnés à l’impuissance. Refusant la fatalité d’une société qui court à la catastrophe démocratique, sociale et écologique, nous partageons les mêmes indignations, les mêmes colères mais aussi, dans la diversité de nos engagements, les mêmes espoirs.

S’opposer ne suffit jamais. Il nous faut aussi, par la discussion et la réflexion collectives, proposer des réponses durables à la hauteur des urgences qui s’accumulent. Venant de chemins différents, nous proposons de les élaborer ensemble, lors d’un rendez-vous commun, le Festival des idées, les 5, 6 et 7 juillet 2019 à la Charité-sur-Loire.

Notre but ? Inventer de nouveaux horizons en faisant tomber les murs qui nous paralysent ou nous divisent. Pour imaginer le futur et les grandes transitions, il faut savoir s’affranchir des routines et des peurs. Vivre mieux, changer le monde qui vient, créer les conditions de nouvelles prospérités, ça ne s’improvise pas. Pour éclairer ces nouveaux horizons, nous proposons de brasser du concret et des rêves. La plus réaliste des politiques, c’est d’affronter les problèmes aigus auxquels les décennies précédentes n’ont pas su porter remède quand elles ne les ont pas amplifiés : catastrophes climatiques, risque d’implosion de l’Europe, dérégulations liées à l’économie numérique, accueil indigne des migrants, chômage de masse, discriminations multiples, inégalités entre les femmes et les hommes, affaiblissements de la démocratie, replis nationalistes… La plus urgente des politiques, c’est d’engager la transition écologique, la transformation en profondeur de notre modèle de développement, de retrouver le sens du partage des richesses et les valeurs d’égalité et de solidarité qui fondent notre rapport au monde.

Comment faire ? La première de nos forces, c’est la diversité créatrice, celle des générations, des origines, des combats. « Je peux changer en échangeant avec l’Autre, sans me perdre pourtant, ni me dénaturer », nous recommandait déjà Edouard Glissant. Cette invitation exigeante servira de devise à notre Festival.

Sans in et sans off, organisons une intense circulation des personnes et des idées, en mêlant ceux qui font, qui agissent tous les jours, et ceux qui produisent des connaissances, pour faire naître une pensée émancipatrice, à un moment où les forces conservatrices, elles, s’organisent.

Pendant trois jours, nous voulons que la parole soit prise par des citoyennes et citoyens volontaires, des jeunes engagés dans les causes d’aujourd’hui, des chercheurs, des ONG, des associations et des entreprises soucieuses de l’intérêt collectif, ainsi que par des médias, des think tanks, des éditeurs qui ont la volonté d’enrichir le débat public.

A la Charité-sur-Loire, les 5, 6 et 7 juillet 2019, ce sont d’abord les citoyennes et les citoyens qui feront le menu : construisons ensemble la programmation, avec sincérité et curiosité. Multiplions les formes d’échange et de débats, duo/duel, conférences, ateliers prospectifs, médiations de tous genres, témoignages inspirants, expériences artistiques ou démocratiques. Et parce que la bataille des idées se nourrit aussi des créations, il y aura de la musique et des mots, des films et des danses.

Le Festival des idées sera aussi une fête ouverte à tous. Ce festival devra aussi avoir un après… Ensemble, nous écrirons le Manifeste de notre horizon commun, afin de nourrir des projets optimistes et de bâtir des coalitions fécondes. Défions les apôtres du déclin ! Le Festival des idées se prépare dès maintenant. Celles et ceux qui vous adressent cet appel prendront la plume sur notre plateforme commune festivaldesidees.org pour vous inviter, vous aussi, à contribuer et à débattre.

Donnez de l’élan à cette initiative, signez cet appel et faites-le connaître autour de vous, proposez des contenus, et pour que le Festival des idées réponde à vos attentes, montez à bord !

Les premiers signataires (à titre personnel) :

Olivier ABEL, Nayla AJALTOUNI, Tewfik ALLAL, Jens ALTHOFF, Pouria AMIRSHAHI, Gérard ASCHIERI, Djamel ATALLAH, Florence AUBENAS, Danielle AUROI, Isabelle AUTISSIER, Philippe BATIFOULIER, Christian BAUDELOT, Romain BEAUCHER, Stéphane BEAUD, Lenny BENBARA, Malika BENARAB ATTOU, Abdennour BIDAR, Habiba BIGDADE, Sophie BINET, Loïc BLONDIAUX, Marie BOHIN, Fabienne BRUGERE, Gaël BRUSTIER, Agathe CAGÉ, Julia CAGÉ, Sophie CAILLAT, Alain CAILLE, Antoine CARGOET, Fanélie CARREY-CONTE, David CAYLA, Lucas CHANCEL, Mouhieddine CHERBIB, David CLUZEAU, Daniel COHEN, Marc CRÉPON, Chantal CUTAJAR, Ai-Thu DANG, Jean DANIEL, Chantal DE LINARES, Alain DEGOIS, Anne-Laure DELATTE, Antoine DELTOUR, Marie DESPLECHIN, Emmanuel DOCKES, Manuel DOMERGUE, Patrick DOUTRELIGNE, Cécile DUFLOT, Antoine DULIN, Guillaume DUVAL, Timothée DUVERGER, Nicolas DUVOUX, Fabien ESCALONA, Anne EYDOUX, Thierry FABRE, Hicham FASSI FIHRI, Christophe FOUREL, Philippe FREMEAUX, Jean GADREY , François GEMENNE, Gaël GIRAUD, Pierre-Noël GIRAUD, Daniel GOLDBERG, Brigitte GOTHIERE, Marie-Aleth GRARD, Robert GUEDIGUIAN, Jean-Claude GUILLEBAUD, Hervé HAMON, Mireille HANNON, Matthieu HELY, Pierre HENRY, Romain HURET, Florence JANY-CATRICE, Laurent JEANNEAU, Jean JOUZEL, Arun KAPIL, Daniel KAPLAN, Yazid KHERFI, Delphine LALU, Aurore LALUCQ, Dany LANG, Catherine LARRERE, Sandra LAUGIER, Guillaume LE BLANC, Arnaud LECHEVALIER, Joël LE COQ, Olivier LEGRAIN, Elliot LEPERS, Nadine LEVRATTO, Philippe LIORET, Alain LIPIETZ, Mehdi LITIM, Hayatte MAAZOUZA, Noël MAMERE, François MANDIL, Charlotte MARCHANDISE, Frédéric MARTEL, Jean-Clément MARTIN, Gustavo MASSIAH, Nicolas MATYJASIK, Dominique MEDA, Philippe MEIRIEU, Pierre MERLE, Matthieu MONTALBAN, El Mouhoub MOUHOUD, Yann MOULIER-BOUTANG, Naïri NAHAPETIAN, Dominique NORA, Gérard NOIRIEL, Christian PAUL, Antoine PEILLON, Camille PEUGNY, Thomas PIKETTY, Jean-François PONSOT, Alexis POULIN, Mathilde POUSSEO, Pascal RICHÉ, Christophe ROBERT, Rachid SANTAKI, Fredéric SAWICKI, Laurence SCIALOM, Véronique SEHIER, Evelyne SERVERIN, Dominique SOPO, Olivier SZULZYNGER, Christiane TAUBIRA, Xavier TIMBEAU, Slimane TIRERA, Aurélie TROUVÉ, Henri TRUBERT, Fabien TRUONG, Patrick VIVERET, Dominique VOYNET, Philippe WATRELOT, Abdallah ZNIBER, Gabriel ZUCMAN.